ELECTROLYSE KISSES
2020,
format numérique, 1min 03s
Paris (FR)
L’eau et les rêves s’abreuve de l’oeuvre littéraire de Gaston Bachelard et de sa pensée sur la « morale de l’eau ». L’exposition nage, voire dérive, au milieu d’une sélection d’esquisses peintes par les étudiants des Beaux-Arts de Paris au 19e siècle. Ces architectures thermales caractéristiques des programmes de l’École sous le second Empire reflètent la « fièvre thermale » qui se répand au même moment sur le territoire français avec l’apparition de villes d’eaux à proximité et au coeur des massifs montagneux. Au centre de ces bâtiments imaginaires, les sculptures des étudiants du Laboratoire Matière/Espace sont comme des fragments d’architecture baignés dans des eaux aquarellées. Elles témoignent de l’existence possible d’un monde émergeant au croisement de deux siècles. Chacune à sa manière évoque en songe le souvenir d’un lieu, d’un moment ou d’une sensation : un passage en forêt, une baignade, des pierres chaudes, de l’eau et des rêves.
Artistes présentés : Darta Sidere, Théo Krief, Léonore Destres, Vincent Cardoso, Soraya Abdelhouaret, Fanny Magnabal, Pier Sparta OEuvres des collections : Alexandre-Auguste-Louis Marcel (1860-1928), Marcel Deslignières (1847-1914)
Commissariat : Emmanuelle Brugerolles, conservatrice des dessins aux Beaux-Arts de Paris et Océane Pilastre, étudiante de la filière « Artistes & Métiers de l’exposition »
©Benjamin Denzler
format numérique, 1min 03s
L’EAU ET LES RÊVES
Théâte des expositions, Beaux-Arts de ParisParis (FR)
L’eau et les rêves s’abreuve de l’oeuvre littéraire de Gaston Bachelard et de sa pensée sur la « morale de l’eau ». L’exposition nage, voire dérive, au milieu d’une sélection d’esquisses peintes par les étudiants des Beaux-Arts de Paris au 19e siècle. Ces architectures thermales caractéristiques des programmes de l’École sous le second Empire reflètent la « fièvre thermale » qui se répand au même moment sur le territoire français avec l’apparition de villes d’eaux à proximité et au coeur des massifs montagneux. Au centre de ces bâtiments imaginaires, les sculptures des étudiants du Laboratoire Matière/Espace sont comme des fragments d’architecture baignés dans des eaux aquarellées. Elles témoignent de l’existence possible d’un monde émergeant au croisement de deux siècles. Chacune à sa manière évoque en songe le souvenir d’un lieu, d’un moment ou d’une sensation : un passage en forêt, une baignade, des pierres chaudes, de l’eau et des rêves.
Artistes présentés : Darta Sidere, Théo Krief, Léonore Destres, Vincent Cardoso, Soraya Abdelhouaret, Fanny Magnabal, Pier Sparta OEuvres des collections : Alexandre-Auguste-Louis Marcel (1860-1928), Marcel Deslignières (1847-1914)
Commissariat : Emmanuelle Brugerolles, conservatrice des dessins aux Beaux-Arts de Paris et Océane Pilastre, étudiante de la filière « Artistes & Métiers de l’exposition »
©Benjamin Denzler